TAMSULOSINE VIATRIS LP 0,4 mg, comprimé à libération prolongée, boîte de 30
Retiré du marché le : 02/03/2020
Dernière révision : 03/02/2022
Taux de TVA : 2.1%
Prix de vente : 4,52 €
Taux remboursement SS : 30%
Base remboursement SS : 4,52 €
Laboratoire exploitant : VIATRIS SANTE
Symptômes des voies urinaires basses (SVUB) liés à une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP).
· Hypersensibilité à la substance active, notamment angio-oedème induit par des médicaments ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Liste des excipients ;
· Antécédent d'hypotension orthostatique ;
· Insuffisance hépatique sévère.
Comme avec les autres antagonistes des récepteurs adrénergiques α1, une baisse de la pression artérielle peut survenir chez un patient traité par tamsulosine ; celle-ci pouvant se manifester rarement par une syncope. Au premier signe d'hypotension orthostatique (vertiges, faiblesse), le patient doit s'asseoir ou s'allonger jusqu'à la disparition des symptômes.
Avant toute instauration d'un traitement par tamsulosine, le patient doit être examiné afin d'exclure tout autre pathologie pouvant se manifester par les mêmes symptômes que ceux d'une hyperplasie bénigne de la prostate.
Un toucher rectal et, si nécessaire, un dosage de l'antigène prostatique spécifique (PSA) doivent être effectués avant de commencer le traitement, ainsi qu'à intervalles réguliers tout au long du traitement.
Chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <10 ml/min), le traitement sera initié avec précaution ; ces patients n'ayant pas fait l'objet d'études particulières.
Le « syndrome de l'iris flasque peropératoire » (SIFP, une variante du syndrome de pupille étroite) a été observé au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome chez certains patients traités ou précédemment traités par tamsulosine. Le SIFP peut augmenter le risque de complication oculaire pendant et après l'intervention.
Interrompre la tamsulosine 1 à 2 semaines avant l'intervention chirurgicale de la cataracte ou du glaucome peut être considéré comme utile. Cependant, le bénéfice de l'arrêt du traitement n'a pas encore été établi. Des cas de SIFP (syndrome de l'iris flasque peropératoire) ont également été rapportés chez des patients qui avaient interrompu la tamsulosine plus longtemps avant l'opération.
Il est déconseillé d'instaurer un traitement par la tamsulosine chez les patients chez qui il est prévu de procéder à une opération de la cataracte ou du glaucome.
Au cours de la consultation pré-opératoire, les chirurgiens et leur équipe ophtalmique doivent vérifier si les patients qui vont être opérés de la cataracte ou du glaucome sont ou ont été traités par tamsulosine afin de s'assurer que des mesures appropriées seront mises en place pour prendre en charge la survenue d'un SIFP au cours de l'intervention chirurgicale.
La tamsulosine ne doit pas être associée aux inhibiteurs puissants du CYP3A4 chez les patients présentant un phénotype de métaboliseur lent du CYP2D6.
La tamsulosine doit être utilisée avec prudence en cas d'association avec les inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Il est possible que des débris de comprimé soient observés dans les selles.
Fréquents (≥1/100 à <1/10) | Peu fréquents (≥1/1 000 à <1/100) | Rares (≥1/10 000 à <1/1 000) | Très rares (<1/10 000) | Indéterminée(ne peut être estimée sur la base des données disponibles) | |
Affections du système nerveux | Vertiges (1,3 %) | Céphalées | Syncope | ||
Affections oculaires | Vision floue, trouble visuel | ||||
Affections cardiaques | Palpitations | ||||
Affections vasculaires | Hypotension orthostatique | ||||
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Rhinite | Épistaxis | |||
Affections gastro-intestinaux | Constipation, diarrhée, nausées, vomissements | Bouche sèche | |||
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Éruption, prurit, urticaire | Angio-oedème | Syndrome de Stevens- Johnson | Érythème polymorphe, dermatite exfoliative | |
Affections des organes de reproduction et du sein | Troubles de l'éjaculation incluant éjaculation rétrograde et défaut d'éjaculation | Priapisme | |||
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Asthénie |
Au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome, des cas de pupille étroite, connue sous le nom de syndrome de l'iris flasque peropératoire (SIFP), ont été associés à la tamsulosine (voir également la rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).
Expérience postérieure à la mise sur le marché : outre les effets indésirables listés ci-dessus, on a signalé sous tamsulosine des fibrillations auriculaires, des arythmies, des tachycardies et des dyspnées. Étant donné qu'il s'agit là d'événements rapportés spontanément dans le cadre d'une expérience mondiale postérieure à la mise sur le marché, la fréquence de ces événements et le rôle de la tamsulosine dans l'origine des troubles ne peuvent pas être déterminés de façon certaine.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : signalement.social-sante.gouv.fr.
SURVEILLANCE du traitement :
- Avant instauration du traitement, le malade devra être examiné afin de pouvoir exclure les autres causes pouvant provoquer les mêmes symptômes que ceux de l'hypertrophie bénigne de la prostate.
- Un toucher rectal et, si nécessaire, un comptage des antigènes spécifiques de la prostate (Prostate Specific Antigen) devra être réalisé avant le traitement, et ensuite à intervalles réguliers.
- Avant instauration du traitement, le malade devra être examiné afin de pouvoir exclure les autres causes pouvant provoquer les mêmes symptômes que ceux de l'hypertrophie bénigne de la prostate.
- Un toucher rectal et, si nécessaire, un comptage des antigènes spécifiques de la prostate (Prostate Specific Antigen) devra être réalisé avant le traitement, et ensuite à intervalles réguliers.
-
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines
(vertiges).
-
ARRET du traitement et PREVENIR immédiatement le médecin en cas d'un gonflement
soudain des mains ou des pieds, de difficultés à respirer et/ou de
démangeaisons et de réactions cutanées, d'un gonflement des lèvres, de la
langue ou de la gorge
- PREVENIR l'ophtalmologiste de la prise de ce traitement en cas de chirurgie
oculaire programmée pour le traitement d'une cataracte ou d'un glaucome.
- Si
vous ressentez une impression de malaise, de vertiges, de fatigue (à cause par
exemple d'une chute de tension lors d'un changement de position) : dans ce cas
adopter la position assise ou allongée, jusqu'à la disparition complète de ces
symptômes.
-
Hygiène de vie : il est recommandé de vous astreindre à une certaine hygiène de
vie durant ce traitement et notamment : au maintien d'une activité physique, à
la surveillance d'un régime alimentaire (éviter les repas riches trop épicés,
trop alcoolisés) ; ne pas trop boire le soir ; maintenir un transit intestinal
régulier.
Grossesse
Le chlorhydrate de tamsulosine n'a pas d'indication chez la femme.
Allaitement
Le chlorhydrate de tamsulosine n'a pas d'indication chez la femme.
Fertilité
Des troubles de l'éjaculation ont été observés dans des études cliniques à court et long terme de la tamsulosine. Des cas d'éjaculation perturbée, d'éjaculation rétrograde et d'absence d'éjaculation ont été décrits pendant la phase de post-autorisation.
Des études d'interaction n'ont été réalisées que chez des sujets adultes.
Aucune interaction n'est observée lorsque la tamsulosine est administrée en même temps que l'aténolol, l'énalapril ou la théophylline.
La cimétidine administrée de manière concomitante provoque une augmentation du taux plasmatique de la tamsulosine ; le furosémide entraîne par contre une diminution de ce taux. Aucune modification de la posologie n'est cependant nécessaire tant que le taux de tamsulosine reste dans les limites de la normale.
In vitro, la fraction libre de la tamsulosine plasmatique n'est pas modifiée par le diazépam, le propranolol, la trichlorméthiazide, la chlormadinone, l'amitriptyline, le diclofénac, le glibenclamide, la simvastatine ou la warfarine.
La tamsulosine ne modifie pas non plus les fractions libres du diazépam, du propranolol, du trichlorméthiazide et de la chlormadinone.
Des études in vitro des fractions microsomales (contenant le système enzymatique métabolisant les médicaments et faisant intervenir le cytochrome P450) et donc du métabolisme hépatique n'ont pas montré d'interaction avec l'amitriptyline, le salbutamol, le glibenclamide et le finastéride.
Le diclofénac et la warfarine peuvent cependant augmenter la vitesse d'élimination de la tamsulosine.
La prise concomitante de tamsulosine et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 peut entraîner une exposition accrue à la tamsulosine. L'administration concomitante de kétoconazole (puissant inhibiteur connu du CYP3A4) a entraîné une augmentation de l'ASC et de la Cmax du chlorhydrate de tamsulosine, respectivement d'un facteur 2,8 et 2,2.
La tamsulosine ne doit pas être associée aux inhibiteurs forts du CYP3A4 chez les patients présentant un phénotype de métaboliseur lent du CYP2D6.
La tamsulosine doit être utilisée avec prudence en cas d'association avec les inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4.
L'administration concomitante de tamsulosine et de paroxétine, un puissant inhibiteur du CYP2D6, a entraîné une augmentation de la Cmax et de l'ASC de la tamsulosine, de 1,3 fois et 1,6 fois respectivement, mais cette augmentation a été jugée cliniquement non significative.
L'administration simultanée d'autres antagonistes des récepteurs adrénergiques α1 peut induire des effets hypotenseurs.
Un comprimé par jour.
La tamsulosine peut être prise avec ou sans aliments.
Population pédiatrique
La tamsulosine n'est pas indiquée pour une utilisation chez les enfants.
L'efficacité et la sécurité d'emploi de la tamsulosine n'ont pas été établies chez les enfants âgés de moins de 18 ans. Les données actuellement disponibles sont mentionnées dans la rubrique Propriétés pharmacodynamiques.
Patients insuffisants rénaux
Aucun ajustement de posologie n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale.
Patients insuffisants hépatiques
Mode d'administration
Voie orale.
Le comprimé doit être avalé entier, sans être croqué ni mâché, car cela interfère avec la libération prolongée du principe actif.
Durée de conservation :
3 ans
Précautions particulières de conservation :À conserver dans l'emballage extérieur d'origine à l'abri de la lumière.
Sans objet.
Symptômes
Le surdosage de tamsulosine peut éventuellement induire une hypotension artérielle sévère. Des effets hypotenseurs sévères ont été observés avec différents degrés de surdosage.
Conduite à tenir
En cas d'hypotension aiguë survenant après un surdosage, une assistance cardiovasculaire doit être apportée au patient. La pression artérielle et la fréquence cardiaque peuvent être ramenées à la normale par une position allongée du patient. Si cette mesure ne suffit pas, on doit recourir à un remplissage vasculaire et, si nécessaire, à des vasopresseurs. La fonction rénale doit être surveillée et des mesures générales de soutien doivent être appliquées.
Une dialyse ne peut être d'aucune aide, car la tamsulosine est fortement liée aux protéines plasmatiques.
Parmi les moyens utilisés, les émétiques peuvent entraver l'absorption de la tamsulosine. Lorsqu'il s'agit de fortes quantités, un lavage gastrique peut être entrepris ; du charbon activé et un laxatif osmotique, tel que du sulfate de sodium, peuvent être administrés.
Classe pharmacothérapeutique : médicaments utilisés dans l'hypertrophie bénigne de la prostate, antagonistes des récepteurs alpha-adrénergiques, code ATC : G04CA02.
Mécanisme d'action
La tamsulosine se lie sélectivement et de façon compétitive aux récepteurs α1-adrénergiques postsynaptiques, en particulier aux sous-types α1A- et α1D. Elle provoque la relaxation des muscles lisses prostatiques et urétraux.
Effets pharmacodynamiques
La tamsulosine augmente le débit urinaire maximal. Elle lève l'obstruction en relaxant les muscles lisses de la prostate et de l'urètre, et par là même améliore les symptômes éprouvés lors des mictions.
Elle améliore aussi les symptômes de rétention pour lesquels l'instabilité vésicale joue un rôle important.
Ces effets sur les symptômes accompagnant la rétention urinaire et les mictions se maintiennent durant un traitement de longue durée. La nécessité d'une chirurgie ou du cathétérisme est significativement retardée.
Les antagonistes des récepteurs α1-adrénergiques peuvent réduire la pression artérielle en diminuant les résistances périphériques. Cependant, aucune diminution de la pression artérielle d'importance significative n'a été observée lors des études sur la tamsulosine.
Population pédiatrique
Une étude en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo et portant sur une gamme de posologies, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neuropathique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était : le nombre de patient chez qui la « pression détrusorienne de fuite » (PDF) (ou LPP pour leak point pressure) à une valeur <40 cm H2O, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'urétérohydrose, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, tel qu'indiqué dans le journal des cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie.
Absorption
La tamsulosine est un comprimé à libération prolongée de type gel matriciel anionique.
La formulation à libération prolongée de la tamsulosine assure une libération lente de la tamsulosine, avec comme résultat une exposition adéquate sur 24 heures et une faible fluctuation.
La tamsulosine administrée sous forme de comprimés à libération prolongée est absorbée au niveau de l'intestin. Lors d'un jeûne, il est estimé qu'approximativement 57 % de la dose administrée est absorbée.
Le débit et l'importance de l'absorption de la tamsulosine administrée sous forme de comprimés de chlorhydrate de tamsulosine à libération prolongée ne sont pas affectés par une alimentation faible en graisses. L'importance de l'absorption est augmentée de 64 % et de 149 % (ASC et Cmax respectivement) par une alimentation riche en graisses comparé à un jeûne.
La tamsulosine possède une pharmacocinétique linéaire.
Après une dose unique de tamsulosine à jeun, le pic de la concentration plasmatique de tamsulosine est atteint en un temps médian de 6 heures. Lors de la phase d'équilibre, qui est atteinte au 4e jour de prises régulières, le pic de la concentration plasmatique de la tamsulosine survient entre la 4e et la 6e heure, que le patient soit à jeun ou non. Entre la 1re dose et la phase d'équilibre, la concentration du pic plasmatique passe de 6 ng/ml à 11 ng/ml.
Les caractéristiques des comprimés de tamsulosine à libération prolongée font que la concentration plasmatique moyenne de la tamsulosine s'élève à 40 % de la concentration des pics plasmatiques, que le patient soit à jeun ou non.
Il existe une variation interindividuelle considérable des concentrations plasmatiques atteintes, aussi bien après une dose unique qu'après des doses multiples.
Distribution
Chez l'Homme, la tamsulosine est liée à 99 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).
Biotransformation
Étant métabolisée lentement, l'effet du premier passage de la tamsulosine est faible. La majeure partie de la tamsulosine est présente dans le plasma sous la forme inchangée du principe actif, avant d'être métabolisée dans le foie.
Chez le rat, seule une très faible induction d'enzymes hépatiques microsomiaux est provoquée par la tamsulosine.
Des résultats in vitro montrent que le cytochrome CYP3A4 et aussi le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme, avec des possibles contributions mineures au métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine par d'autres iso-enzymes CYP. L'inhibition des enzymes du CYP3A4 et du CYP2D6 métabolisant le médicament peut conduire à une exposition accrue à la tamsulosine (voir rubriques Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).
Aucun des métabolites n'est plus actif que le composé original.
Élimination
La tamsulosine et ses métabolites sont éliminés essentiellement par les urines. La quantité excrétée sous forme de substance active inchangée est de l'ordre de 4 à 6 % de la dose administrée en comprimés de tamsulosine à libération prolongée.
Après une simple dose de tamsulosine et lors de la phase d'équilibre, les demi-vies d'élimination ont été mesurées respectivement à 19 et 15 heures, environ.
Aucune étude n'a été menée sur la capacité à conduire et à utiliser des machines. Cependant, les patients doivent être avertis que des vertiges peuvent se manifester.
Des études de toxicité en dose unique et en doses répétées ont été effectuées sur la souris, le rat et le chien. Entre autres, on a étudié la toxicité sur la reproduction chez le rat, la carcinogénèse chez la souris et le rat, et la génotoxicité in vivo et in vitro.
Le profil général de toxicité, tel qu'il est observé pour de fortes doses de tamsulosine, est cohérent avec les actions pharmacologiques connues des antagonistes des récepteurs α-adrénergiques.
Aux très fortes doses, l'ECG est modifié chez le chien. Cette réponse est considérée comme non cliniquement pertinente. La tamsulosine ne possède pas de propriétés génotoxiques significatives.
Chez les rats et les souris femelles, on a rapporté une augmentation de l'incidence des modifications des glandes mammaires. Ces résultats, probablement issus d'une hyperprolactinémie et qui ne sont obtenus qu'à de très fortes doses, ne sont pas considérés comme pertinents.
Pas d'exigences particulières.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Liste I.
Comprimé à libération prolongée.
Comprimés blancs, ronds, non sécables, de 9 mm de diamètre, marqués du code « T9SL » sur une face et « 0,4 » sur l'autre face.
30 comprimés sous plaquettes thermoformées (oPA/Al/PVC/Aluminium)
Chaque comprimé à libération prolongée contient 0,4 mg de chlorhydrate de tamsulosine, correspondant à 0,367 mg de tamsulosine.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique Liste des excipients.
Noyau interne du comprimé : hypromellose, cellulose microcristalline, carbomère, silice colloïdale anhydre, oxyde de fer rouge (E172), stéarate de magnésium.
Couche externe du comprimé : cellulose microcristalline, hypromellose, carbomère, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium.